Acteur majeur de l’aménagement du territoire du Grand Ouest, le Groupe Pigeon dispose de savoir-faire intégrés en complémentaires sur le segment des Travaux publics, notamment en matière de grands terrassements et d’enrobés.
Suite au premier plan de relance autoroutier, lancé sous la présidence de François Hollande, un second plan d’investissement a été entériné fin juillet par le Conseil d’État.
Les contours du premier plan de relance autoroutier
Signé en 2015 entre le gouvernement et les principaux concessionnaires autoroutiers, ce premier plan d’investissement s’élève à 3,27 milliards d’euros. Exclusivement financé par les sociétés concessionnaires d’autoroutes, ce plan de relance a plusieurs objectifs : le renforcement de la sécurité des usagers via la modernisation des infrastructures autoroutières, l’amélioration des connexions pour mieux desservir les territoires, et la mise aux normes autoroutières des portions qui étaient jusqu’à présent gérées par l’État. À savoir que 80% des investissements seront réalisés en cinq ans.
Les modalités du second plan de relance autoroutier
Visant à moderniser les infrastructures autoroutières, le second plan de relance autoroutier, annoncé en 2017 et qui s’élevait à 800 millions d’euros, vient être entériné. Il a toutefois été ramené à 700 millions d’euros ; et sur les 57 chantiers initialement proposés, certains ont été rejetés.
C’est ainsi que 23 échangeurs, sur 32 à l’origine, pourront être construits et 230 millions d’euros vont permettre de réaliser des travaux environnementaux, comme des ouvrages antibruit ou de franchissement pour la faune. La création de 4.500 places de parking de covoiturage est également prévue aux abords des autoroutes.
Ce plan de relance va être cofinancé par les concessionnaires autoroutiers, tels que Vinci, APRR ou Sanef… Plusieurs opérations sont à venir, comme le réaménagement du périphérique de Nantes, ou encore, la création d’un échangeur à Laval (Mayenne).
Pour en savoir plus:
La mise en 2x2 voies de la RN164 à Châteauneuf-du-Faou